Il y a une limite au bonheur qu'on peut tirer de son travail. On est même d'autant plus heureux qu'on passe moins de temps au travail.

Le marin se distingue par son aptitude à pratiquer la sieste à toute heure, en tous lieux, par tous les temps. Car ce qui est pris n'est plus à prendre.

Vouloir être de son temps, c'est déjà être dépassé.

Mieux vaut perdre sa montre que de perdre son temps.

La valeur d'un collaborateur est fonction du temps qui peut s'écouler sans inconvénient, entre un effort exceptionnel de sa part, et la rémunération de cet effort.

Pour réparer la perte du temps passé, il faut bien employer le présent, et ne s-souhaiter l'avenir que pour en faire un bon usage.

Si la pauvreté fait gémir l'homme, il bâille dans l'opulence. Quand la fortune nous exempte du travail, la nature nous accable du temps.

Savoir partager son temps, c'est savoir jouir de la vie.

Le temps sera le maître de celui qui n'a pas de maître.

Les premières étreintes sont toujours un peu ratées. On se jette l'un sur l'autre, à l'aveuglette ; poussé par trop de hâte on ne prend pas le temps de faire connaissance avec une peau, une odeur, un sexe étrangers.